Voici la fin de l’été, la rentrée pointe son nez et je n’ai pas tenu les objectifs que je m’étais fixés. La « panne de lecture » persiste et malgré mes efforts elle ne semble pas près de me lâcher. Je poursuis néanmoins mon petit chemin, pas à pas, vers le contrôle de cette pile à lire.
- Valérie Perrin, Changer l’eau des fleurs (Prix Livre de poche)
- Carolina de Robertis, Les Dieux du tango (Prix Livre de poche)
- Daniel Pennac, Au Bonheur des ogres
- [Montesquieu, Les Lettres persanes (re-re-relecture rentrée 2019 qui ne fait pas vraiment baisser la PAL)]
- Elisabeth Gilbert, Comme par magie
N.B. Je n’ai pas terminé L’été invincible d’Alice Adams pour le Prix des lecteurs Livre de Poche. Je ne comptais pas voter pour lui mais je vais quand même le terminer.
- Nonnos de Panoplis, Les Dionysiaques
- Balzac, Monographie de la presse parisienne
- Louis Pergaud, La Guerre des boutons (déjà lu mais en version abrégée donc je veux le relire en VRAI)
Nous en sommes donc à 291 livres. Rien de génial ni de très efficace mais au moins pas d’augmentation à signaler!
Ce mois-ci, j’ai pu faire le plein de culture même si je n’ai pas réussi à voir tout ce que je désirais. Voici donc les trois kiffs du mois:
- L’exposition « Paris romantique » se visite en deux lieux: le Petit Palais et (évidemment) le musée de la vie romantique. Au Petit Palais, l’exposition présente le contexte politique et culturel dans lequel le mouvement romantique s’est épanoui. La dimension est plutôt historique et sociologique. La muséographie est vraiment belle et il est agréable de déambuler dans les salles. J’ai eu un peu de mal à comprendre les objectifs des premières salles mais la suite m’a séduite. Au musée de la vie romantique, l’axe est plutôt littéraire. On nous présente les salons qui ont permis le développement des théories artistiques des écrivains et peintres. Cette partie de l’exposition est plus intimiste.
- L’exposition Berthe Morisot au musée d’Orsay était un de mes objectifs de l’été. Malgré la foule et la petite taille des salles, le visiteurs se rend compte du travail de la peintre, de ses caractéristiques et de ses buts. Il est important de mettre en lumière le travail des femmes dans le milieu de la peinture.
- Je termine par l’exposition sur les œuvres de Ker-Xavier Roussel au musée des impressionnismes de Giverny. Ce fut une véritable rencontre! Peintre nabi, il intègre la mythologie à des paysages post-impressionnistes. Il m’a donné l’impression de faire surgir le merveilleux au cœur même des paysages familiers.