Les Carnets du pivert – Vlog Camus

Au mois de juin, la youtubeuse Nabolita nous invitait à nous consacrer à un auteur. J’ai choisi Camus et j’ai lu 4 œuvres de cet auteur. Si vous voulez savoir ce que j’en ai pensé, ce que j’ai ressenti, je vous invite à écouter l’épisode.

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Les Carnets du pivert – La littérature de jeunesse et moi

Dans cet épisode des Carnets du Pivert, je vous partage mes réflexions sur la littérature de jeunesse.

J’espère que cela vous intéressera. Bonne écoute!

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Les Carnets du pivert – épisode 6 – Retour sur #maiavecbalzac.

Dans ce sixième épisode des Carnets du Pivert, je réalise une sorte de vlog de lecture. Sur Instagram, @madameirmalit avait lancé le hashtag #maiavecbalzac et nous invitait à consacré une partie de notre mois de mai à Balzac. Pourquoi Mai ? Parce que c’est le mois anniversaire de Balzac.

Pour ce mois avec Balzac, j’ai lu Eugénie Grandet, un recueil de nouvelles, et la biographie de Balzac par Titiou Lecoq. Pour savoir ce que j’ai pensé de ces livres, vous pouvez écouter mon vlog sur Anchor, Spotify ou même sur Youtube.

J’espère que cela vous intéressera. Bonne écoute!

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Les Carnets du pivert – épisode 5 – L’injonction à lire.

Dans ce cinquième épisode des Carnets du Pivert, je cherche à examiner en quoi consiste l’injonction à la lecture et pourquoi elle me met mal à l’aise.

Je m’appuie sur deux oeuvres: Daniel Pennac, Comme un roman et Yasmina Reza, Art, dans la mise en scène de de Patrick Kerbrat avec Pierre Vaneck dans le rôle de Marc et Fabrice Lucchini dans le rôle de Serge.

J’espère que ce thème vous intéressera. Bonne écoute!

Nouveauté! Vous pouvez me retrouver sur You Tube.

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Les Carnets du pivert – épisode 4 – Que sont les classiques ?

Dans ce quatrième épisode des Carnets du Pivert (je suis un peu perdue dans les numéros), j’essaie de définir ce que sont les classiques. Je montre les limites de ces définitions et je m’appuie sur un texte d’Italo Calvino, « Pourquoi il faut lire les classiques  » pour approfondir ma réflexion.

J’espère que ce thème vous intéressera. Bonne écoute!

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Les Carnets du pivert – épisode 2 – Angoisses de lectrice

Dans ce deuxième épisode des Carnets du Pivert, je cherche à examiner quelles sont les causes de ma panne de lecture. C’est un épisode plus personnel qui donne un aperçu de mon rapport à la lecture et aux livres.

J’espère que ce thème vous intéressera. Bonne écoute!

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Les Carnets du pivert – épisode 1 – Qu’est-ce que la littérature ?

Dans ce premier épisode des Carnets du Pivert, je voudrais réfléchir avec vous à une question qui revient régulièrement sur le tapis quand on parle de livres et que l’on exprime un avis dessus : la question de la valeur littéraire. Qu’est-ce qui est de la littérature ? Qu’est-ce qui n’en est pas ? Quels sont les critères qui déterminent qu’une œuvre appartient à la Littérature ?

Pour répondre à cette question, je me suis appuyée sur des textes de théorie et de critique littéraire :

Wolfang Iser, L’Acte de lecture, 1976

Hans Robert Jauss, Pour une esthétique de la réception, 1978

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Invitation au jardin

Locus amoenus

Et si on parlait jardins?

Non, ce blog ne va pas devenir un blog de jardinage, car même si c’est très intéressant, je n’ai absolument pas les compétences pour vous parler de cela. Par contre, j’ai toujours aimé les jardins. Quand je rends visite à mes parents, une des premières choses que je fais, c’est de parcourir le jardin pour voir quelles nouveautés et surprises il me réserve. Mon père est plein d’idées et son jardin évolue en permanence. J’ai aussi une affection particulière pour les jardins de châteaux, qu’ils soient à la française, à l’anglaise, ou encore contemporains. Et j’apprécie aussi les parcs, les jardins de ville, les courettes fleuries, les jardins en friche, bref, tous les espaces naturels plus ou moins façonnés par l’homme.

Or, des jardins, il y en a plein les pages des livres et ils sont porteurs d’un ensemble de motifs et symboliques littéraires. C’est tout cela que je voudrais explorer, à ma mesure, dans cette nouvelle catégorie d’articles. Ces réflexions et remarques sont, bien entendu, sans prétention. Je ne suis pas une spécialiste et je ne compte pas écrire une thèse à ce sujet, même si je ne doute pas que cela serait passionnant. Il y aura donc sans aucun doute des raccourcis, des approximations, des erreurs et je vous invite à me les signaler pour que nous puissions en discuter en commentaire.

Je vous invite donc à déambuler avec moi dans les jardins littéraires. Et qui sait, finirons-nous peut-être par parler jardinage!

 

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Les Bellilo’scènes #2 Le Porteur d’histoire

le-porteur-d-histoire-tourneeHier soir, j’ai pu assister à la deuxième soirée du festival des Bellilo’scènes. Malgré la lourde chaleur, je n’ai pas un instant pu décrocher de la pièce qu’on nous proposait ce soir-là à l’espace Agnès Sorel de Loches.

Le Porteur d’histoire raconte une drôle d’histoire, ou plutôt des histoires – ou l’Histoire? En Algérie, deux femmes sont portées disparues. Aucune trace de violence. Ce qui s’est passé ce jour-là et bien d’autres jours avant, la quête romanesque qui a entraînée ses deux femmes dans son tourbillon, tout nous est conté par cinq acteurs sur une scène nue à l’exception de cinq tabourets et de vêtements suspendus à un portant.

Il est difficile de résumer l’enjeu de cette pièce. Le prologue nous indique qu’il va être question d’histoires et d’Histoire et que ses deux notions homonymes et pourtant si éloignées dans leur usage sont liées car en réalité tout est question de récit. L’aventure folle que propose le Porteur d’histoire joue sur les chronologies, la littérature, l’histoire, l’art.  C’est une fresque intense et mouvementée qui se déroule sous nos yeux ébahis sans un seul temps mort. Et pourtant, ils ne sont que cinq sur une scène vide.

En dehors d’une pièce dont la narration romanesque est maîtrisée dans les moindres détails, la grande force du spectacle repose sur le jeu des acteurs. Ils miment, modifient leur corps et leur voix et d’un simple détail vestimentaire campent un nouveau personnage et lui donnent chair. Le spectateur se trouve tour à tour dans le désert d’Algérie, dans un cimetière des Ardennes, dans une salle de bal de 1830, dans un avion, une jeep, une malle-poste… Un véritable voyage, une épopée!

Et quel plaisir de retrouver au coeur de ce(s) récit(s) Alexandre Dumas, à la fois personnage mais sans doute aussi génie tutélaire de cette pièce complètement vertigineuse.

Le festival des Bellilo’scènes remplit donc parfaitement son contrat: « ouvrir un espace de dialogue et de partage entre un public local et des artistes de théâtre issus du territoire français ».


Le Porteur d’histoire: Pièce et mise en scène d’Alexis Michalik. Avec Patrick Blandin, Mounya Boudiaf, Amaury de Crayencour, César Méric, Justine Moulinier

Molière 2014 du Meilleur Auteur Francophone Vivant.
Molière 2014 du Meilleur Metteur en scène d’un spectacle de Théâtre Privé.
Également nommé dans la catégorie du Meilleur Spectacle du Théâtre Privé.

Toutes les informations sur le site du festival: http://www.lesbelliloscenes.com/

Les Bellilo’scènes #1: Formes de femme

AFFICHE-BELLILO-SCENES-page-001Hier soir, vendredi 26 mai, au terme d’une journée étouffante, je me suis rendue à l’ancienne église romane Saint-Laurent à Beaulieu-lès-loches. Dans sa fraîcheur se jouait « Formes de femme« , une création du festival des Bellilo’scènes.

Revenons d’abord sur le festival. Il tire son nom des habitants de Beaulieu-lès-loches: Les Bellilociens et les Bellilociennes. Il s’agit ce week-end de la première édition initiée par l’association « Demain c’est loin » (clin d’oeil à une chanson d’IAM?). Cette association est née de la rencontre d’Amandine Sroussi et Elsa Tournoux, dont l’une est originaire de Beaulieu-lès-loches. L’objectif du festival est « d’ouvrir un espace de dialogue et de partage entre un public local et des artistes de théâtre issus du territoire français. » En quelques sortes, c’est mettre le théâtre national à portée de la ruralité, et moi je dis banco!

Qu’en est-il de « Formes de femme »? Sur scène: trois comédiens incarnent et lisent des textes de Virginia Woolf (Une chambre à soi), George Sand (Histoire de ma vie) et Carole Martinez (Le domaine des murmures). Un pianiste et une chanteuse lyrique les accompagnent avec une composition de Francis Poulenc sur des poèmes de Louise de Vilmorin. D’autres morceaux ponctuent la représentation: Chopin, Debussy, Lizt… (Je me fie au programme car je ne connais malheureusement pas grand chose à la musique classique).

Je n’ai évidemment aucune prétention à réaliser ici une critique de théâtre. Je vous présenterai plutôt mes impressions et réflexions. Dans cette création, la femme est mise à l’honneur en faisant entendre quatre voix féminines. Le texte de Carole Martinez semble un peu en décalage car il ne porte pas à proprement parler de réflexion esthétique ou biographique sur la femme artiste mais il entre en écho avec certains passages de l’essai de Virginia Woolf. J’ai particulièrement apprécié le jeu des comédiens qui s’adaptait au personnage incarné: passion, réflexion, délicatesse… A noter, Virginia Woolf était jouée par un comédien et non seulement je n’ai pas trouvé cela dérangeant mais j’ai même trouvé que cela se justifiait si l’on pensait aux propos de Virginia Woolf: « Il est néfaste pour celui qui veut écrire de penser à son sexe ».

Cette représentation, en plus de me donner envie de lire les oeuvres dont étaient extraits les textes, m’a surtout fait découvrir Louise de Vilmorin, poète et auteure du début du XXe siècle, femme à la biographie surprenante et qu’il serait bon de lire.

A mon humble avis, ce festival plein de promesses débute sous les meilleurs auspices.

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